Pâques approche à grand pas et avec lui le repas dominical en famille. Je vous propose de vous mâcher le travail en vous offrant une recette divine, tirée des carnets de recettes Picard : le carrés d’agneau épicé et ses figues au miel.
C’est une recette rapide à faire qui demande peu de préparation et garantit un effet “waou” dans l’assiette. Le raz-el-hanout qui enduit la viande lui procurera ce croustillant qui fera bondir vos papilles de plaisir ! (Je vous rassure, rien de piquant).
Panier de courses
(pour 4 personnes)
– 2 petits carrés d’agneau Picard (de Nouvelle Zélande) – 800g en tout,
– 600g de figues Picard (de Turquie),
– 4 CS de coriandre fraîche,
– 4 CS d’huile d’olive,
– 2 CS de vinaigre balsamique,
– 2 CS de miel des montagnes,
– 4 CS de raz-el-hanout,
– sel, poivre.
Préparation
– Préchauffer le four à 240°C.
– Dans un plat, mélanger 1 CS d’huile d’olive, le raz-el-hanout et le sel jusqu’à obtenir une sorte de pâte. Rouler les carrés d’agneau dedans et aidez vous d’une cuillère pour répartir de manière homogène la pâte sur la viande.
– Enfourner dans un plat haut pendant 20 à 25 minutes max si la viande est décongelée et 35 minutes si elle est encore congelée lors de la mise au four. Pour vérifier la cuisson de votre viande, n’hésitez pas à séparer légèrement une côte du carré et de regarder la couleur de la viande. Si elle est légèrement rosée, elle est parfaite servez-là telle quelle. Si elle est encore rouge, remettez-la quelques minutes au four.
– Ciseler la coriandre.
– Mettre les 3 CS restantes dans une poêle et faire dorer quelques minutes les figues dedans (pas plus de 5 min).
– Ajouter la coriandre, le miel, saler et poivrer et réserver au chaud en attendant la fin de la cuisson de la viande.
– Une fois la viande cuite, retirer la viande, mettre le jus dans un petit bol. Mettre le plat sur le feu et déglacer le fond avec le vinaigre baslamique. Récupérer ce nouveau jus et le mélanger avec celui réservé dans un petit bol.
– Napper sur la viande, mettre les figues dans l’assiette et servir immédiatement.
J’ai accompagné ce plat principal par:
– une entrée composée d’une cassolette de noix de st jacques au lait de coco et citronnelle,
– d’une panna cotta ananas-coco-citronnelle en dessert.
L’ensemble est très équilibré et nous conduit à la fin du repas sans lourdeur avec tout le plaisir subtil que procure le sucré/salé.
Sur ce, joyeuses Pâques ! 🙂